Les privations sensorielles et émotionnelles liées à un environnement pauvre en stimulations sont à l’origine de dérèglements métaboliques, mais aussi de comportements « anormaux » assimilés à des manifestations de stress post-traumatique.
Ces comportements prennent des formes variées tels que des comportements agressifs, des vocalisations excessives, le développement de stéréotypies – répétition invariable d’un comportement sans fonction apparente – ou encore des comportements d’automutilation.
Par exemple, le picage (feather damaging behaviour) du plumage est une forme d’automutilation très souvent observée chez les perruches et perroquets en captivité, qui peut se compliquer par des lésions de la peau et des muscles.
https://theconversation.com/la-maltra...animaux-de-compagnie-exotiques-156657
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